La Lope de l’Atlas
(suite)
Après dix minutes de repos, je reprends le turbin avec une série de «pompages» à la chaîne. Dans une rangée, je
me fous à quatre pattes et j’avance en suçant tous les mecs qui y sont assis. J’aimerais être sélectif et en passer certains mais j’ai parfois peur d’en énerver certains. Bien
entendu, mine de rien, je m’attarde sur les queues qui me plaisent le plus.
— Tu fais ça bien! me dit un mec.
Je lève les yeux et je suis surpris de trouver un mec assez jeune: la trentaine. Il a un petit air vicelard qui
m’excite. Je le suce un bon moment et lorsque je sens que ça vient, je me mets à le branler. Il me jute à la gueule.
— C’était super!
Je suis déjà au suivant. Sa queue est longue et déjà bien raide. Je le pompe comme une machine. Je suis une
machine. Une machine à baiser. Le type soupire et me presse la nuque en enfonçant sa tige dans ma gorge. Il retient ses gémissements mais j’ai compris qu’il est près de jouir. Je
me retire pour le faire décharger sur mon visage. Le mec m’a joui sur les yeux et le nez. C’est ma quatrième dose de jus sur la face et il est temps d’aller nettoyer tout
ça.
Tarik, mon protecteur attitré (voir première partie) s’occupe d’un
de ses protégés. Il l’encule dans la seule cabine qui ferme encore. J’ai repéré ses pompes sous la porte. Un mec que je n’ai jamais vu et qui est assez sexy s’avance et me roule
une pelle. Ici, ils sont rares ceux qui font ça... surtout d’une manière aussi sensuelle. Le mec m’entraîne vers une sortie et je le suis. Tarik en a pour un moment avec sa lope.
Le mec qui me tire derrière lui vers un endroit calme - c’est rare à l’Atlas! - porte une alliance. Il n’est pas mal comme mec. Ça mérite d’être souligné dans ce bouge où la
plupart des clients sont assez beaufs... Et je suis gentil!
Nous nous arrêtons dans un coin sombre. Je commence très vite à défaire son pantalon qui lui tombe sur les
chevilles d’un coup. Je lui tâte l’engin déjà dur et le branle sans perdre de temps. Sa queue est de bonne taille et grossit à vue d’œil.
— Suce-moi, je t’en prie!
Trop gentil ce mec! Je la suce un moment.
— J’en veux plus! lui dis-je d’un air intéressé.
Je lui enfile une capote et lui présente mon cul déjà bien ouvert. Deux mecs rappliquent déjà pour mater et je
lui dis:
— Ici, faut s’y faire! Allez, baise-moi! Défonce-moi la rondelle...
Je me penche et j’attrape ses couilles par en-dessous. Je les lui masse et je dirige sa bite dans mon fion qui
n’en peut plus. Sa queue entre et coulisse dans mon conduit un peu irrité mais toujours sensitif. Dix minutes plus tard, il se libère en moi (enfin dans la capote). Le mec me
sourit, s’essuie, se rhabille et, hop, il se sauve comme un voleur. Lorsqu’ils ont joui, certains mecs culpabilisent très vite.
Je fais le tour dans la salle et je me fais encore un peu caresser. Il y a déjà moins de monde mais il y a
encore de bons coups à se faire. J’essaie de me concentrer sur les rangées du centre, là où il y a une dizaine de mâles.
Un mec parle avec une autre lope que je connais ; Tarik, et me fait signe de me pointer. Le mec est
installé au dernier rang et a sorti sa belle bite veineuse par sa braguette. Tarik me dit:
— Y’a un monsieur qui a entendu parler de toi et qui veut t’essayer! Allez, au boulot, ma pute!
Sans avoir vu le visage du mec, je suis directement à genoux et je suce le mec en douceur. Il a l’air
d’apprécier. Je joue avec mes lèvres et ma langue pour l’amener à la jouissance.
— Tu es vraiment une salope! —
Ouais, j’en suis une! — Que dirait ta femme si elle savait?
Là, je flippe un peu. Bon, il a vu mon alliance.
— Elle n’apprécierait pas, Sylvie!
C’en est trop. Je lève les yeux et je vois... mon beau-frère.
— Je me doutais qu’il y avait un truc pas net chez toi, Claude! me dit-il tout sourire. Mais là, je suis
scié!
Mon beau-frère appuie sur ma nuque et je me remets à le pomper. Il a l’air d’aimer ça, le cochon. La dimension
prise par sa queue dans ma bouche en est la meilleure preuve. C’est flagrant. Je m’arrête pour lui demander:
— Ta femme ne te suce pas aussi bien, hein, Daniel? — Elle ne suce pas du tout.
J’ai sucé très longtemps et l’ai amené plusieurs fois aux portes de l’éjaculation. C'est le moment de lui
enfiler une capote.
— J’ai un bon cul. Tu vas l’aimer!
— Je n’en doute pas un instant. Je te surveille depuis un bon moment. Viens!
Il me place à califourchon au-dessus de ses cuisses et m’empale carrément sur sa queue dressée. Je suis surpris
de l’aisance avec laquelle il fait ça.
— Je ne suis pas ton premier... écart, Daniel?
Il se met à rire et me besogne comme un lapin. Je contracte bien mon cul autour de sa bite. Mon cul, je l’ai
domestiqué depuis le temps. J’arrive à le dilater et resserrer à volonté.
— T’avais raison! —
À propos de quoi?
— De ton cul! C’est un endroit divin que tout mec devrait visiter... mais je suis sûr que des mecs, il n’y en a
plus beaucoup qui ne l’ont pas visité!
Je m’agite. J’ai l’air d’un piston sur sa bite. Il rugit et je couine. Nous allons tous deux vers l’ultime
jouissance. Quelques voyeurs se sont rapprochés pour profiter du spectacle. S’ils pouvaient savoir qui nous sommes l’un pour l’autre! La queue de mon beau-frère me lime à fond. Il
arrive enfin au point de non retour. Il largue sa purée et s’écroule au fond de son fauteuil.
— Qu’est-ce que je t’ai mis! me dit-il en souriant.
Un mec sort des toilettes. Un métis assez bien foutu qui gueule à qui veut l’entendre :
— Ils sont quatre… D’abord moi puis maintenant un autre gamin… Il n’y vont pas avec le dos de la cuillère… J’ai
pris des baffes et des coups dans l’estomac! Je l’ai bien cherché, mec. Si j’avais voulu la paix, je s’rais pas venu
ici…
Je fais un pas ou deux vers les toilettes et Daniel m’arrête.
— Tu es con ou quoi? Tu veux jouer les héros? On sait ce qui se passe ici… Ceux qui y viennent prennent des
risques… Entendu?
— Moi, il y a longtemps que j’ai accepté de n’être qu’un objet sexuel, rien de plus, rien de moins. Je ne
ressens plus rien. Je ne m’attends à rien et je ne veux rien. Au pieu, je ne fais que fixer le plafond sans même cligner des yeux, pendant qu’on me besogne avec violence.
Impossible d’accepter qu’un gamin se fasse violer sans qu’on lui vienne en aide.
Je fonce vers les toilettes. Des voix:
— Encule-le à sec! Je veux qu'il gueule comme une chienne. Écarte… écarte ton fion, salope…
Le gamin gémit. Je vais sauter dans le tas quand j’entends la voix de l’enculé:
— Oh oui, c’est bon, trop bon… Baisez-moi, les mecs! Coupez-moi en deux avec vos bites d’acier!
J’entrevois le gamin – qui doit tout de même avoir la vingtaine! – qui bombe les fesses docilement en cambrant
les reins pour mieux s'offrir. Les mecs l’injurient, l’encouragent à s’offrir mieux. Il écarte lui-même les bords de sa raie. Daniel est derrière moi.
— Alors? — Il est consentant!
L’enculé gémit et ordonne qu’on le baise à fond. Consentant! répond mon beau-frère. Et pas qu’un peu! Bravo,
Superman!
J’ai l’air d’un con à vouloir voler au secours de salopes comme moi qui viennent à l’Atlas pour s’y faire
«malmener». C’est tout ce qui les excite!
Alors mon beau-frère m’explique ce qu’il fait à l’Atlas.
— Avec un ami, j’ai ouvert un club… Un club bi et gay. Tous les mois, je viens ici pour trouver de bonnes
salopes. Nous en avons besoin dans le club. Et là, je crois en avoir trouvé une… et une bonne!
Durant deux mois, mon beau-frère m’a dressé à l’Atlas. Chaque weekend, nous nous y rendions et il me faisait
baiser par des tas de mecs. Il m’obligea à dépasser mes limites et à accepter toujours plus. Un samedi, je m’en souviens parfaitement, il m’a dégoté un black avec une bite énorme.
Le black a enfilé une capote et m’a bourré contre un mur. Il devait y avoir une dizaine de spectateurs dont mon beau-frère qui se branlait en m’encourageant. Le black a joui assez
vite car il était très excité.
— Alors? C’était comment? a demandé Daniel.
— C’était trop puissant! J’ai senti la décharge malgré la capote! Ce mec est une bête… Je suis sûr qu’il
pourrait recommencer dans dix minutes.
— Peut-être le fera-t-il! a ajouté mon beau-frère.
Mon baiseur avait jeté la capote à mes pieds. Je l’ai vue qui laissait s’écouler une grande quantité de foutre
crémeux.
Je me rhabille et nous allons nous asseoir un moment dans la salle, histoire d’un peu récupérer et de permettre
un renouvellement de la clientèle. Mon beau-frère me regarde.
— Au fait, me dit-il, il faudra qu'on discute sérieusement. Je te l’ai dit j'ai un ami qui a un club où on aime
les beaux culs endurants comme le tien et tu y serais mieux que dans ce bordel crasseux...
Nous avons ri. Je sais qu'au bout de la discussion se profilerait pour moi une prostitution régulière dans ce
fameux club. Il se colle contre moi et se contente de me mettre la main aux fesses pour bien me signifier que je suis devenu sa chose. Ila gagné je vais y aller dans son club d’ailleurs j’y passe maintenant le plus souvent possible et c’est là que je fais la
lope.
Je ne me lasse pas de voir des double-sodo en bareback, J'adore me faire remplir le cul de foutre.... je jute à chaque fois que je les regarde baiser à trois
QUI vient me faire une double sodo dans la région de Lausanne ??
C un de mes fantasmes, et jmerai que 2 mecs me le réalisent
J'ai le cul super ouvert quand je suis excité !!
Contactez moi sur mon mail: tomgayboy09@hotmail.com
Oh oui rien de meilleur que la bonne baise bien sauvage !!!
Deux excellents récits !!
kiss