Le blog gay de Gemsa - Gemsa's gay blog - El blog gay de Gemsa

A partir d'aujourd'hui j'ouvre une nouvelle rubrique sur le blog :

" scénars et histoires courtes bandantes et juteuses".

A vous d'y collaborer : on lance une idée de scénar et ceux que ça inspire m'adressent une petite histoire inspirée ou en rapport avec le scénar proposé par mail via le module contact et si OK je le publie.

Vous pouvez aussi dans les commentaires ou par mail m'adresser des idées de scénars pour les semaines suivantes.

A vos plumes, soyez inspirés.

Thème de la semaine : Branle dans le métro bondé

Petite histoire proposée par Openbrief :

Dans le métro, Novembre 1995 durant la grande grève des transports en commun.

18H, quai bondé, la rame arrive. Allant jusqu’au terminus, je suis littéralement propulsé au fond du wagon et me retrouve coincé juste contre un mec qui est, lui, adossé à la paroi. Je ne peux plus bouger, ma sacoche dans la main droite, et le bras gauche accroché à la barre verticale. Les gens discutent un peu et le mec en face de moi me dit qu’on est serré comme des sardines en boite, ce à quoi je réponds que les sardines sont couchées tête bêche, et nous debout...

Je sens alors quelque chose qui appuie sur ma braguette, mais est-ce volontaire ou non ? et je commence à bander, quelque peu gêné, sachant bien que je ne peux absolument rien faire. Pas de doute, c’est la main du mec en face de moi, et il ne peut ignorer que ma bite qui était molle et pendante, commence à se redresser. Il me regarde et esquisse un discret sourire, un brin coquin pour ne pas dire vicieux. Je rougis, mais impossible de contrôler cette tension qui monte dans ma queue qui continue de se dresser inexorablement. J’ai maintenant l’impression, pour ne pas dire une certitude, que je perçois ses doigts qui gratouillent discrètement sur ma braguette.

Je rougis encore plus, tétanisé, et n’osant rien dire. D’autant que je trouve la situation agréable et même excitante. Je ne peux même pas me reculer et n’ose pas non plus parler ni faire de réflexion ; le mec en profite encore plus et je sens qu’il baisse lentement la fermeture éclair jusqu’en bas ! Maintenant ses doigts grattent carrément le tissu de mon slip le long de ma tige qui se retrouve tendue dans la poche kangourou. Il doit d’ailleurs se rendre compte que je porte un tel slip car ses doigts en trouvent le chemin et viennent carrément toucher la peau de ma bite.

Sensation vertigineuse, et je dois probablement mouiller du gland. Ses doigts remontent tranquillement jusqu’au bout de ma queue et il commence à me branler le gland avec le prépuce. Je suis tétanisé, pris entre la gène et le plaisir procuré. J’essaye de regarder autre part et de me rendre indifférent, mais ou tourner mes yeux alors que mon corps est coincé contre lui. Il en profite et sort carrément ma bite qu’il vient mettre contre la sienne ! Comment a t il pu sortir sa queue ? Maintenant, nos deux tiges sont l’une contre l’autre dans sa main droite et il branle l’ensemble très lentement. Je suis inquiet que les autres voyageurs puissent s’en apercevoir, mais il astique tellement insensiblement qu’aucun mouvement ne peut se voir, tant on est compressé les uns contre les autres.

Je sens que ma jute commence à être déjà au bas de ma queue. Je ferme les yeux, suis couvert de sueur, autant due à la chaleur qu’à l’émotion. D’un seul coup, je ressens un liquide chaud inonder la base de ma saucisse et mon slip. Je suis tellement excité que mon corps se raidit car cela va être mon tour de jouir et je gicle brutalement mon lait de couilles dans sa main. Il rentre cette main dans mon pantalon pour venir s’essuyer sur mon slip, rentre ma bite dans sa poche tout en continuant de me pétrir mes boules et ma bite qui débande, enfin, très progressivement, viens me re caresser les couilles en passant ses doigts sous l’élastique des cuisses, puis referme la braguette.

Je suis rouge de honte, et je perçois sa main qui bouge pour ranger sa bite et refermer sa braguette. A nouveau je le regarde, ne sachant pas quelle attitude adopter ! Les stations ont défilé, les gens descendus petit à petit. On est moins comprimés et je peux me décoller enfin de ce branleur vicieux et audacieux. On approche d’une gare, le mec se faufile pour descendre. Je dois à tout prix fermé mon manteau car je crains que mon pantalon soit plein de tache de jute. J’arrive chez moi, me désape et constate que mon futal est rempli de son foutre encore humide : bon pour le pressing. Mais je garderai longtemps en mémoire ce mois de novembre 1995 ou un mec à oser me branler et me faire juter dans un wagon de métro à 18 heures.

 Merci à Openbrief.

Petit scénar sur le même thème :

Tu es dans une rame pleine bondée de mecs torses nus en plein été et toi au milieu.

Raconte.

A vous lire....