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Je l'avais annoncé le voilà le nouveau scénar et petite histoire qui va avec :

 

La cabane de l'orgie au fond des bois :

 

Envoyez moi vos petites proses à publier sur ce thème.

 

En attendant de vous lire je m'y colle comme d'ab' pour vous pondre un petit récit :

 

En déplacement professionnel dans le centre d ela France j'arrive assez tôt à mon hôtel, c'est le début de l'été, il fait beau, je suis en chaleur comme d'ab'...

Je consulte internet pour trouver les lieux chauds du coin : il y a un petit bois réputé très actif pas loin d'ici. Pas de temps à perdre, je prends quelques fringues ad hoc et je fonce en voiture vers le lieu indiqué.

 

Parking improvisé en bordure de route, quelques allées et venues autour. Pas de doute c'est là. Je me change dans la voiture : Teeshirt sérré et short moulant comme j'aime porter pour ce genre de plan.

 

Je guette le prochain mec qui s'enfonce dans les bois et je le suis à distance. Pas perdu mon temps j'arrive au bout de quelques temps devant une petite cabane, je contourne dans les sous bois jusqu'à voir une porte devant laquelle se tiennent deux mecs super barraqués dans des tenus voisines de la mienne.

 

Déjà là, rien qu'à les voir, pecs avantageux et gros paquets entre les cuisses, qui se caressent la bite l'un l'autre tout en regardant ce qui vient, je commence à triquer ferme.

Je mate un moment en commençant à me carresser le cul, la bite et les pecs.

Je mouille déjà : une vraie fontaine.

 

Soudain sans que j'ai rien vu venir je suis propulser au milieu d'eux par un mec de leur genre qui leur crie : "regardez cette petite lope qui vous matait derrière les buissons. On va lui donner ce qu'il vient chercher".

 

Les trois mecs commencent à me carresser et me branler de partout en m'embrassant goulument.

Je sens des mains sur ma queue, sur mon cul sur mes pecs.

Elles s'insinuent dans mon teeshirt et dans mon short. J'en englue une de mon pré-foutre qui coule encore plus abondemment, une autre qui se glisse dans ma raie vers mon trou qui en frétille de plaisir, une autre sous mon teeshirt qui se trouve vite arraché et déchiré.

 

Bien sûr que je me laisse faire je suis aux anges j'attendais pas un tel accueil. Je gémit déjà de plaisir et ça excite les 3 mecs qui me traitent de petite chienne en chaleur, de lope à bite, etc ... et ils ont raison.

 

Très excités et me sentant docile ils poussent la porte m'entrainent dans la cabane. Je suis tellement excité que j'ai peine à prendre conscience du spectacle qui s'y déroule : quelques vieux matelas, chaises et tables et assis ou alongés dessus, les uns sur les autres enchevétrés par 2 ou par 3 ou 4, une quinzaine de mecs qui se sucent, se baisent et se branlent en gémissant comme c'est pas possible.

Me voilà au milieu d'une super orgie, je pouvais pas espérer mieux dans un coin comme ça! Rien que de les entendre ça m'excite encore d'avantage.

 

Bientôt sans m'en être rendu compte je me retrouve à poil au milieu de mes trois mecs, alongé sur un matelas, deux grosses queues à sucer au dessus de moi, une autre qui se frotte à mon cul et l'excite à mort.

Je ne me fais pas prier pour gober ces deux bites à tour de rôle ou ensemble pendant que leurs propriétaires me font les seins.

Je tortille du cul sur la bite du troisième jusqu'à ce qu'il m'enfourche à fond tout en gobant ma bite.

 

Chienne que je suis, je me livre à mes trois baiseurs allant d'avant en arrière au devant de leurs sexes et gémissant d'aise entre deux gobages de bites. Le manège a attiré d'autres mecs tout autour. Certains semblent chercher à baiser mes baiseurs pendant qu'ils me liment, d'autres se branlent au dessus de nous.

 

Et puis d'un seul coup tout bascule, j'ai l'impression que ce ne sont plus les mêmes bites qui me défoncent la gueule et le cul, ça tourne, ça se succède dans ma bouche et dans mon cul, je ne sais plus où j'en suis mais j'adore...

 

J'entends des mecs qui commencent à jouir bruyamment autour de nous, je sens quelques premières giclées de sperme me tomber sur le corps, ça échauffe encore l'atmosphère. Un mec vient de me jouir dans le cul, ho! c'est bon!

J'en veux encore, un autre a pris sa place. Ca y est je prend du foutre sur la gueule, et une bite me décharge son jus dans le bouche, ha! le pied les mecs! encore, encore du foutre, j'en ai jamais assez. Je suis tellement excité que je n'arrive même plus à jouir, tant mieux, faut que ça dure le plus possibe.

 

Maintenant c'est un vrai déluge permanent de foutre que je prends sur le corps, dans le cul et dans la bouche....là j'en peux plus je gueule comme une bête et je largue mon jus je ne sais pas où, dans une main ou plutôt dans une bouche ouverte sur mon sexe qui recueille ce bon foutre bien chaud.

 

Avec ce déluge de foutre, le petit groupe semble, comme moi, un peu apaisé, certains s'éloignent, d'autres restent vautrés avec moi à massérer dans notre mélange de sperme. J'adore.

 

Après un moment, quelqu'un nous asperge d'un seau d'eau, ca réveille. La cabane s'est un peu vidée mais ceux vautrés avec moi sont toujours là.

L'eau fraiche à réveillé nos ardeurs, ça y est les premiers attouchement recommencent, on va remettre ça, rien que d'y penser je rebande et j'offre à nouveau mon corps de lope à tous ceux qui veulent...et ça a duré comme ça jusqu'au soir. J'ai du jouir encore deux fois.

 

On s'est quittés avec les derniers combatant à la tombée de la nuit, j'ai regagné ma voiture et mon hôtel en me promettant bien de revenir la prochaine fois que je passerai dans le coin. J'ai fait un bon repas ce soir là et j'ai dormi comme une souche. Le lendemain j'étais en super forme pour mes RDV professionnels!

 

 

Bon ben voilà, j'espère que ça vous a plu (merci pour vos commentaires éventuels)

 

A vous maintenant, j'attends vos récits (Cf module contact ou adresse email en haut à droite) sur le même thème ou les thèmes précédents.

 

 

Jeu 9 jun 2011 1 commentaire

salut

les scenarios sont extra dommage que l'on ne puisse lire les scenarios etrangers hummmmmmmmm

bises

bruno - le 12/09/2011 à 15h12

désolé Bruno mais il faut que je pense aussi aux visiteurs étrangers puisqu'il y en a

Bises

Gemsa