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Ah l'armée!

D’après  Charles   

L'histoire que je vais vous conter date du début de mon service militaire. J'avais 18 ans et j'étais toujours vierge. J'avais de nombreux fantasmes et les pulsions qui vont avec. La vie à l'armée me changeait pas mal de la vie à la maison, mais ces changements étaient globalement  positifs : l'univers exclusivement masculin et la possibilité de lorgner des tas de beaux mâles prêts à tout.

Une ridicule dispute de cantine à laquelle je fus mêlé malgré moi m'obligea à rester à la caserne tout un long week-end. Jérôme et Michael allaient être mes compagnons pour ces trois jours. Jérôme était un gars sympa ,  très sexy qui vivait essentiellement pour la musique,  tandis que Michael était le prototype même du mâle macho qui ne vit que pour et par sa bite.

Après une soirée de jeux de cartes avec un pote d'une autre chambrée et quelques litres de bière , nous étions un peu gris. Michael se mit à me titiller avec des allusions du style:

— T'es toujours puceau... allez, avoue! T'es plutôt branché blondes ou brunes? Merde, décoince-toi, mec! Ne me dis pas que t'es pédé?... Il l'est.  C'est pas croyable! Je pieute à côté d'un petit suceur de bites sans le savoir.

— T'entends ça, Jérôme?  Il aime se faire fourrer!

— T'aimes ça, hein, te faire mettre à fond par une queue bien dure...

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Michael et Jérôme se sont jetés sur moi et m'ont entraîné dans l'infirmerie déserte.

— On va te proposer un truc, a dit Michael! On ne dit pas aux autres que t'es de la jaquette si tu acceptes d'être notre petite femelle ce week-end! Personnellement, il me faut un trou... le tien me conviendra... Faute de mieux!  Alors... D'accord?

Je fis "oui" de la tête. Jérôme ne pipait pas un mot mais je le sentais très excité par ce qui se passait.

— Fous-toi à poil, commanda-t-il. On aimerait un strip très sexe!

 À chaque vêtement que j'enlevais, je voyais leurs yeux qui s'allumaient un peu plus. Michael se frottait à travers son treillis et sa bite m'apparaissait énorme. Jérôme salivait et passait de temps en temps la langue sur les lèvres. En cinq minutes, je me suis retrouvé en slip.

— Vire ça aussi! Et mets-toi sur la table! À quatre pattes! dit Michael.

— Qu'est-ce que tu proposes, dit Jérôme?

— Caresse-moi! Dis-je.

Jérôme me flatta le dos, les reins et sa main arriva sur mes fesses. Michael avait sorti sa grosse queue et, monté sur un tabouret, il me la présenta...

— Suce, salope!

Pendant que ma bouche s'activait sur la tige raide de Michael, je sentais les deux mains de Jérôme me caresser les fondements : les fesses, la raie, les cuisses... Il prenait un peu d'assurance. Michael se retira de ma bouche et rejoignit Jérôme en disant :

— C'est la première fois qu'un mec me fait bander. T'es canon, mec! Ce cul! Un pousse au viol! J'ai une envie folle de te t'enfoncer ma bite au cul.

Ses mains glissaient dans la raie et titillaient mon anus.

— En plus, t'as l'air bien serré. Tu serais bien puceau?

— Oui, j'ai jamais baisé... ni été baisé.

— Le pied intégral! Ça va être ta fête, mec!

Jérôme  glissa doucement un doigt dans mon trou du cul. Il avait tombé le t-shirt et commençait à s'allumer très fort. Une bosse prometteuse déformait son pantalon. Il s'approcha de moi et m'embrassa. Michael me mit à son tour un doigt dans le cul en disant:

— J'en connais une qui serait bien là-dedans.

— Alors, vas-y, ai-je crié! Bourres-moi à fond!

Michael ajouta un deuxième puis un troisième doigt dans mon petit cul, m'arrachant des petits cris de plaisir. Jérôme posa sa bouche sur la mienne et il m'embrassa. Ce mec était si beau, si tendre... Mon plaisir montait entre le traitement de mon cul offert par Michael et les doux baisers de Jérôme.

— Tu aimes? me demanda Jérôme.

— Tu penses s’il aime! Il adore,  lança Michael sans me laisser le temps de répondre. Il n'attend qu'une chose... Sentir une vraie grosse bite bien chaude et bien dure au fond de son cul de pédé!

Les mots de Michael me chauffaient encore plus. Entre Jérôme et moi, il se passait quelque chose d'indéfini. Mon beau militaire avait envie de moi... j'en étais sûr! Il déboutonna sa chemise, laissant apparaître un torse d'athlète aux pectoraux saillants, sa longue tige montait jusqu'au nombril.

— Tu veux lui passer dessus en premier? lui demanda Michael toujours occupé à m'élargir la rondelle avec ses doigts.

— Vas- y  toi! dit Jérôme.

— Je t'en prie, Michael, baises moi!

Michael tomba la chemise et largua ses fringues une à une. Son corps était superbe: cul rond et cambré, taille fine, poitrine musclée et glabre, gueule de petite frappe, regard noir et froid... J'avais pour s'occuper de moi les deux prototypes du mâle : la brute et le sentimental.

Jérôme me présenta une nouvelle fois sa longue tige et je me mis à la pomper avidement.

Cette tige longue et dure qui coulissait entre mes lèvres m'emportait au septième ciel. Des petits gémissements sortaient de sa gorge.  Jérôme sortit de ma bouche et m'attira à lui pour m'embrasser en dardant sa langue dans ma bouche.

— C'est moi qui le baiserai, dit-il à Michael.

— Woaw... Tu te dégèles, mec!  Bon, c'est OK; ma bite n'entrera pas là-dedans mais je veux pouvoir jouer un peu avec lui avant de te le laisser! C'est un plan honnête, non?

Jérôme approuva de la tête. Michael se remit à me travailler les tétons avec tellement de conviction que j'étais sur le point de jouir. Au bout d'un moment, je sentis que Jérôme pressait quelque chose à l'entrée de ma raie. J'ai vu qu’il m'enfonçait sa pine au cul. Tout alla si vite! Le pilonnage fut doux puis s'intensifia. Mon baiseur prenait son pied. Michael nous regardait en se paluchant la queue.

Nous étions en état de bête en rut, prêts à larguer nos purées respectives lorsque la porte de l'infirmerie s'ouvrit... Le médecin de la caserne, un type très sexy et viril de quarante ans, venait d'entrer et il ne semblait pas outré de nous découvrir en pleine séance de baise... Au contraire... Il  s'avança vers une armoire dont il était le seul à avoir les clefs…

— Je vois qu'on s'amuse ici! J'ai plusieurs choses qui pourraient vous intéresser...

Il ouvrit l'armoire pleine d'objets bizarres mais excitants: godes, plugs, boules... Il s'approcha de nous en enlevant sa chemise.

— Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je vais me joindre à vous.

— Quand il y en a pour trois... (C'était Michael qui parlait!)

Michael était déjà à fouiller dans l'armoire aux trésors du docteur.

— Tu permets, dit-il en écartant Jérôme. Tu l'auras pour toi tout seul dans quelques minutes...

 Je sentis qu'un objet forçait l'entrée de mon cul, c’était un plug qu’il rentra sans difficulté. Il était assez agréable à supporter, pas trop gros... Le docteur, maintenant nu, s'occupa de ma bite raide et de mon gland puis se chargea à son tour de m’assouplir manuellement la rondelle.

Bientôt  Jérôme revendiqua le droit de s'occuper exclusivement de moi...

— C'est OK, dit Michael. Mais nous voulons voir tout... voir les va-et-vient de ta grosse teub qui le ramone à fond!

Jérome s'est enfoncé en douceur entre les lobes de mes fesses toutes dures. Il a entamé son va-et-vient en me caressant l'intérieur des cuisses.  J'avais le cul en feu mais j'étais ravi de sentir ses 23 cm me pistonner sans relâche! Il frappait contre ma prostate à chaque entrée et je savais que je n'aurais aucun contrôle sur ma propre jouissance! J'allais envoyer toute la sauce d'un moment à l'autre sans même me toucher! Non! Il fallait retarder ce moment le plus longtemps possible...

Je voulais lui crier qu'il pouvait y aller à fond, me prendre comme une chienne, me mordre, m'écarteler. Je voulais être sa chose, son objet de luxure, sa petite pute...

Devant les deux autres mecs, je me sentais comme un trou béant. J'avais envie de les exciter, de les rendre fous en montrant comme je pouvais m'abandonner à un mâle! Je voulais que Jérôme  me baise par tous les trous, qu'il n'ait aucune limite dans ce qu'il voudrait faire avec moi! Le mouvement sensuel de mes fesses le ferait bientôt exploser en moi.

— Alors il est bon, ton petit mec? demanda Michael. Il a l'air d'apprécier tes services.

— À le voir ramoner ainsi un cul de salope, on aurait envie de devenir soi-même une autre salope... ajouta le docteur qui devait surement en être une.

Ils nous lorgnaient d'un oeil tandis qu'ils se rapprochaient l'un de l'autre. Michael se fit pomper royalement par le toubib en chaleur. Au bout d'un moment, je vis dans son regard que Jérôme n'y tenait plus... Il se retira de mon cul et finit de se déverser sur mes fesses! Le contact de ce sperme chaud qui s'étalait sur mon dos, me fit jouir à mon tour.

Je me suis affalé, épuisé, suivi par mon baiseur qui se lova très tendrement contre moi en m'embrassant dans le cou! Nos deux corps glissants de jute, de sueur et de lubrifiant dégageaient une odeur de sexe d'une sensualité incroyable. Je passais mes doigts dans sa nuque et il me roula un baiser tendre, langoureux, sensuellement incontrôlé! Nos deux langues faisaient un ballet frénétique. Je constatais déjà que cela provoquait chez lui une nouvelle érection. Je suis descendu vers son torse puissant et poilu à souhait, mordillant délicatement un sein au passage. Cette caresse l'a achevé. Ma main est partie en reconnaissance entre ses cuisses . J'avais fini de le rendre dur et prêt à l'emploi à nouveau. Une colonne de chair bouillante y battait!

— J'ai encore envie, lui ai-je dit, comme pour le déculpabiliser.

— Alors on va remettre ça parce que moi...

— Je vois! Enfin, je sens! ai-je ajouté. Je ne m'en lasserai jamais.

Sa queue était encore luisante de son propre plaisir et de celui de mon cul. Je titillais le bout de son gland avec la langue en redescendant vers ses couilles poilues. Le plaisir était tel qu'il s'abandonna littéralement et me lança des insanités à la figure.

J'étais sa pute, sa salope... Il menaçait de me violer, de m'éclater le fion et de me doser devant tout le régiment. Il saisit alors ma tête entre ses deux mains, et poussa sa grosse matraque au fond de ma bouche.

— Plus loin, salope! Avale la tige de ton mec!

— Allez, fais-lui sa fête! cria Michael, prêt de la jouissance dans la bouche du docteur. Lime-moi cette gueule de pouffiasse en chaleur. Il en veut... donnes-en lui...

Jérôme ahanait comme un animal en rut. Il ne voulait plus que son plaisir. D'une main, je caressais ses fesses très douces, de l'autre, j'attrapais ma bite car je voulais me donner du plaisir en même temps que lui!

— Tu vas en prendre plein la tronche! dit Jérôme. 

A côté de nous, Michael cria en larguant sa purée sur le visage du docteur. Celui-ci était assis sur un gode énorme et jouait à monter et descendre dans un concert de gémissements.

Le docteur quitta Michael et le gode et s'avança vers nous. Il s'approcha pour mieux voir la tige de Jérôme me défoncer le gosier.

Mon Jérôme était comme fou furieux à présent, et c'est dans un râle obscène qu'il finit par exploser dans ma bouche! Une quantité surprenante de sperme se déversa sur mes lèvres, mon nez, mon front, mon cou.... Ce bon jus coulait maintenant sur mon torse glabre. Et à mon tour, j'ai largué ma purée et je me suis arrosé les jambes et les poils du bas-ventre.

 Ce fut alors au tour du docteur qui évacua son trop-plein de laitance dans un hurlement de bonheur...

 Nos respirations étaient bruyantes et saccadées! Il nous a fallu un long moment pour reprendre nos esprits, tellement la jouissance a été intense et forte.

— Merde! Les mecs... quel pied!  S'était écrié Michael, la petite frappe.

Nous nous sommes séparés et nous avons essayé de dormir quelques heures.