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Summer In A Federal Prison

By John

When were in the same unit a few days later - my room was directly across from his - and when he showered he was sure to dry off so I could see his ass and his back - never his front. When we walked in the yard - I saw the outline of his cock - but only through his pants. He'd leave his shirt off - showing a slim - fit body with broad shoulders and strong, mature arms. He'd walk bare footed sometimes. When we sat down, he'd pull up a pant leg and massage his calf so I could see his leg up close. But he always turned away when he took a piss or was naked after a shower - I never saw his cock during the first six weeks.

It was hot in mid-summer, so I'd see on the one chair in his cell and he'd lay on the bed while we worked. He started wearing only boxer shorts on the hot nights - they were only medium tight - enough to show general shapes and his belly hair coming from the top of the shorts - and a swinging cock when he walked, but that was all.

We talked about sex - about male sex - and sex with wives and women, but all sorts of things about sex. He knew I was jerking off on thinking about him - but didn't give any encouragement. After a day or two, he would walk by me in the cell - only an inch or two from my face - I could smell his moist balls - even see a glimpse of the hair around his cock - but no cock, and no balls. His legs were solid - he'd brush them against my arm or hand. We talked for hours about everything - him nearly naked - but not naked enough.

We got down to mid-August on a Saturday night - he'd had visit from his wife - and he was clearly horny and hot at dinner. He invited me to come to his cell and talk after dinner - about seven. At the ten o'clock prisoner count - he took a shower and walked by my cell to visit a minute - his towel was tight around his waist - and he made a point to let me watch him take it off and dry his head - but never let me see more than the sides of his legs - still no cock or nuts. Again - he invited me to his cell.

This time the white boxers were tighter - and when he laid down an opening two inches across appeared in the shorts - showing heavy cock hair - and his cock laying down against his leg between his shorts and his thigh - and it was heavier with a well defined head. His nuts were split by the shorts. He used to toilet in his cell to piss - let me see the stream - but not the cock. There were stains on his shorts afterward, and his adjusted his cock through the shorts while I watched when he turned in my direction. The conversation got more coy and sensual. He asked me to come back after the midnight count - about 10 minutes away.

When I got back, he was back in a towel. I sat down, he closed the sliding door to the cell and turned off the lights, then turned toward me naked with a thick seven inch cock headed for my mouth. He had it buried as far as it would got in an instant - straddling my legs where I was sitting - buck naked - with his nuts sitting on my chin. He held my head steady.

I put my hands on the back of his legs and held on. He carefully made intrusions down into my throat in a systematic way - a little deeper each time as the cock was slicker from my spit. My nose was completely buried in the hair over his cock - the smell was clean - but musky and sweaty, too.. He didn't say a word - just carefully fucked my throat - really fucked it, not just put it down there.

There was no taste of pre-cum - just cock taste. I could tell as he got hotter - now he just quietly told me to breathe steadily - and moved his cock about a quarter inch on each stroke so it wouldn't come out of my throat. He rubbed my hair gently - and reminded me to stay cool and calm because he wasn't going to stop even if I choked.

I relaxed - put my hands on his ass - and let him go as deep as he could. I knew when he was ready to cum, of course - and could feel it surge past my lips and through the constricted opening of his cock in my throat. The cum stuck to the sides of my throat and went down like a small pill that needed a little more water. I knew when it hit my belly.

Slowly - his cock softened - and he stroked out the last drops onto my tongue, then help my mouth shut until I swallowed it. He put the opening so I had to lick off the drops as they continued to cum a little so I could taste it.

He turned away - winked at me, said "Good Night" - and went to bed naked. I quietly left with the taste in my mouth and the cum slowly sliding down into my belly.

Orgies au fond des geôles

par : Bob

Condamné pour un braquage, la lope de Jeff se retrouve en taule en plein été.

Incarcéré dans une cellule avec  3 autres mecs, il ne souhaite qu’une chose pour passer le temps, exciter ses codétenus et se faire baiser.

Dès son arrivée au matin du premier jour de prison, la chaleur justifie  sa tenue favorite  : Teeshirt serré et short moulant comme il aime porter pour attirer les mecs, d’autant  que 2 de ses codétenus  portent des  tenues voisines de la sienne. Déjà là, rien qu'à les voir, pecs avantageux et gros paquets entre les cuisses, qui se caressent la bite tout en  le matant,  Jeff  commence à triquer ferme,  à se caresser le cul, la bite et les pecs et à mouiller comme une vraie fontaine.

Soudain sans qu’il ait rien vu venir il est propulsé au milieu d'eux par le  troisième codétenu qui mine de rien avait bien suivi le manège, et  qui leur crie : "regardez cette petite lope qui vous excite, on va lui donner ce qu'il attend".

Les trois mecs commencent à le caresser et le branler de partout en l'embrassant goulument. Jeff sent  des mains sur sa queue, sur son cul sur ses pecs. Elles s'insinuent dans son teeshirt et dans son short. Il en englue une de son pré-foutre qui coule encore plus abondamment, une autre se glisse dans sa raie vers son trou qui en frétille de plaisir, encore une autre sous son teeshirt qui se trouve vite arraché et déchiré.

Jeff se laisse faire, aux anges il ne s’attendait  pas à un tel accueil pour son premier jour de taule. Il gémit déjà de plaisir et ça excite les 3 mecs qui le traitent de petite chienne en chaleur, de lope à bite, etc ... et ils ont raison. Leur excitation est telle que leurs cris attirent 2 gardiens qui faisaient leur ronde, peut être bien habitués à ce genre d’ébats dans cette cellule car ils semblent plus intéressés qu’autre chose et referment la porte sur eux et se joignent au groupe.

Bientôt  Jeff se retrouve à poil au milieu de ses 3 codétenus, allongé sur un matelas, deux grosses queues à sucer au-dessus de lui, une autre qui se frotte à son cul et l'excite à mort et les deux gardiens  à moitié dessapés qui se branlent autour.  Il ne se fait pas prier pour gober ces deux bites à tour de rôle ou ensemble pendant que leurs propriétaires lui font les seins. Il tortille du cul sur la bite du troisième jusqu'à ce qu'il l'enfourche à fond tout en gobant sa bite. Le voilà au milieu d'une super orgie, il ne pouvait  pas espérer mieux! Rien que de les entendre gémir de plaisir ça l'excite encore d'avantage.

Chienne qu’il est, il se livre à ses trois baiseurs allant d'avant en arrière au-devant de leurs sexes et gémissant d'aise entre deux gobages de bites. Les 2 gardiens sont maintenant aussi à poil, l’un d’eux cherche à baiser son baiseur pendant que l’autre se branle au-dessus de lui.

Et puis d'un seul coup tout bascule, Jeff a  l'impression que ce ne sont plus les mêmes bites qui lui défoncent la gueule et le cul, ça tourne, ça se succède dans sa bouche et dans son cul, il ne sait plus où il en est  mais il adore...Il entend  les mecs qui commencent à jouir bruyamment autour de lui, il sent quelques premières giclées de sperme lui tomber sur le corps, ça échauffe encore l'atmosphère. Un mec vient de lui jouir dans le cul, ho! c'est bon! Il en veut encore, un autre a pris sa place. Ca y est il prend du foutre sur la gueule, et une bite lui décharge son jus dans le bouche, ha! le pied les mecs! encore, encore du foutre, il n’en a jamais assez. Jeff est  tellement excité qu’il  n'arrive même plus à jouir, tant mieux, faut que ça dure le plus possible.

Maintenant c'est un vrai déluge permanent de foutre qu’il prend sur le corps, dans le cul et dans la bouche....là  il n’en peut plus, il gueule comme une bête et  largue son jus il ne sait pas où, dans une main ou plutôt dans une bouche ouverte sur son sexe qui recueille ce bon foutre bien chaud.

Avec ce déluge de foutre, le petit groupe semble un peu apaisé, certains s'éloignent, d'autres restent vautrés sur Jeff à macérer dans leur mélange de sperme. Jeff adore. Après un moment, quelqu'un les  a aspergés d'un seau d'eau, ca réveille. La cellule s'est vidée des 2 gardiens qui sont repartis finir leur ronde. L'eau fraiche a réveillé les ardeurs, ça y est les attouchements recommencent, on va remettre ça, rien que d'y penser Jeff rebande et offre à nouveau son corps de lope à tous ceux qui veulent...et ça dure comme ça jusqu'à l’heure du repas. Il va jouir encore deux fois.

Jeff a compris que ça serait comme ça tous les jours tant qu’il aurait les mêmes codétenus et les mêmes gardiens. Pas de problème il allait bien supporter son incarcération.