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A l’infirmerie militaire
De David
Médecin dans un camp militaire près de Verdun, j'avais atteint l'âge de la retraite ( 50 ans) et passait donc mon dernier W.E. de garde, fin juillet 1999. Il fallait me résoudre à abandonner avec regrets cette ambiance masculine ou je ne comptais plus mes aventures. Je rangeais donc mes affaires personnelles, pensant à ce qui m'obsède depuis des lustres : me plonger dans une baignoire pleine de foutre gluant. Mais quand on sait qu'il faut environ 150 L pour la remplir, et la quantité de jute émise à chaque giclée, cela devient un vrai casse tête : il faudrait environ 5000 mecs qui se branlent ensemble pour satisfaire ce rêve. Plus qu'un "gang bang". Tu imagines tout un corps d'armée s'astiquant ensemble le poireau pour combler mon désir ? Rien que d'y penser m'avait fait bander, et j'avais sorti ma tige pour tripoter mon prépuce.
On frappe à ma porte, et c'est juste si j'ai le temps de remballer mon matos que l'infirmier de garde surgit en face de moi avec un jeune appelé qui allègue un mal de dos suite à une chute ridicule. Il habite loin de Verdun, et ne peux pas rentrer à toutes ses permissions, occupant ses W.E. à faire du sport. Je lui demande de se dévêtir et de s'allonger en slip sur la table d'examen, bras le long du corps. Appuyé contre la table, je commence à lui masser le dos, descendant bien jusqu'au ras des fesses, baissant progressivement son slibard pour bien travailler les reins. Puis je passe aux cuisses, remontant bien jusqu'aux fesses. J'en profite pour ramener son slip dans la raie des fesses, afin de m'attarder comme par hasard vers sa rondelle. Voir son Athéna ainsi transformé en string, dégageant bien la raie, cela me fait bander car je trouve son cul adorablement accueillant. En même temps, je réalise que je n'ais pas refermé ma braguette, car je sens directement sa main contre mon slibard. Impression rapidement confirmée, ses doigts bougeant légèrement. J'augmente ma pression contre la table, donc contre sa main, triquant de plus en plus. Il ne peut plus ignorer que je bande de la queue. Sous l'effet du massage, je vois ses fesses se trémousser lentement, son corps se raidir, et se détendre dans un grand soupir, tandis que ses doigts redeviennent immobiles. Je lui demande alors de se mettre sur le dos pour lui masser les quadriceps. Malgré ses hésitations, il finit par obtempérer, visiblement gêné et le visage rouge comme un coq. Je découvre un kangourou plein de tâches de foutre séché, témoin de nombreuses branlées nocturnes, et une grande auréole humide et récente. Le bougre vient de jouir sous l'effet du massage. Faisant l'ignorant, je m'occupe de ses cuisses, remontant bien jusqu'aux plis de l'aine, pour titiller discrètement son paquet. Et passant d'une hanche à l'autre, j'en profite pour accrocher mes doigts dans l'ouverture du kangourou. En peu de temps, mon but est atteint : j'ai réussi à dégager le bout de sa queue tendue, laissant apercevoir son gland ou perlait encore une goutte de foutre. Eh bien, lui dis-je, non seulement tu te branles le soir dans ton lit, et en plus tu jutes sous mes mains ! Pour me remercier, à toi de me faire gicler la sauce. Sans lui laisser le temps de réagir, je me rapproche de sa tête, sors ma tige, et lui enfourne mon gland dans la bouche, lui intimant l'ordre de me sucer à fond. J'en profite pour lui baisser le cache couilles et jouer avec ses boules et sa tige gluante. Il semble apprécier la chose. Je me retire de ses lèvres et vais au bout de la table. Je lui ôte son slip taille 4 et ramène son fessier au bord de la table, lui écarte les jambes et fixe ses pieds dans le système de pouliethérapie. Je baisse mon futal et mon slip afin de pouvoir l'enculer. Mon gros gland passe difficilement la rondelle ; puis il se met à gémir tandis que je commence à limer son cul tout enrebranlant sa queue. Nos râles nous empêchent d'entendre l'infirmier qui venait pour savoir s'il fallait préparer un lit à l'infirmerie ! Viens, lui dis-je, son dos va très bien, mais sa bouche en redemande. C'est à trois qu'on a fini de gicler la jute. Je les invite à prendre le café pour leurs soumettre un problème : combien faudrait-il de mecs pour prendre un bain dans une piscine olympique remplie de jute ?...
Muscle gay orgies
patron,
je vais t'en concocter d'autres
Merci d'avance
Merci, patron, de m'honorer en mettant ici un texte de mon cru, sur l'infirmerie militaire. Texte court, quand ils sont trop longs, "gempaça"
j'en ai d'autres si tu veux.
baiser pompeur sur ton gland
C'était un plaisir openbrief de te publier d'ailleurs ça doit pas être la première fois et j'ai encore qq textes à toi en réserve mais je suis tojours preneur de nouvelles idées. Bises à toi