Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
----------->
Glory Hole
C'était il y a quelques années entre autres lieux de dragues et de débauches j'appréciais tout particulièrement les "glory hole". Je ne fréquentais pas et ne fréquente toujours pas les milieux homos branchés et notamment les établissements spécialisés du Marais avec leurs backrooms. De toutes façons à l'époque il y en avait encore assez peu. Non, pour moi l'aventure c'était certaines toilettes situées sur des aires de repos d'autoroute. En région parisienne j'en connaissais une petite dizaine et je les fréquentais assidument!
Une des mes préférées et sans doute la plus fréquentée était située sur l'aire de Nainville sur l'A6 au sud de Paris (inutile d'y aller maintenant ils ont tout reconstruit depuis quelques années !). C'est vrai que l'endroit n'a guère de charme et ce n'est rien de le dire ! Un siège à la turque pas très net, un malheureux hublot qui diffuse une lumière blafarde et des murs recouverts d'inscriptions à caractère sexuel très orientées homos, bref une ambiance glauque et malsaine mais j'aimais assez.
C'est le printemps et il fait bon, il est dix heures du soir et sur le parking stationnent trois voitures, quatre avec la mienne, je descends de mon véhicule et après l'avoir condamné je me dirige vers le petit édifice. Il n'y a personne et je m'installe dans une cabine. Je n'attends pas deux minutes et j'entends la porte qui s'ouvre, un homme pénétre dans la cabine voisine, je me caresse alors devant le trou et j'aperçois alors un oeil, il me regarde un instant et disparaît. À mon tour, je regarde dans la petite ouverture et je vois que le type ouvre sa braguette et sort son engin. Je m'agenouille alors, j'ai la bouche à hauteur du trou. À croire que c'est moi qui l'ai fait. Le gland glisse et surgit de mon côté.
C'est pour moi des moments magiques, même après des centaines de séances je ne me suis jamais lassé du mystère de ces bites inconnues qui s'offrent à mes lèvres et qui disparaissent aussitôt après avoir déversé leur semence dans ma bouche en gardant un parfait anonymat. J'ai toujours trouvé un plaisir intense à sucer un parfait inconnu sans prononcer un seul mot et le glory hole est un système parfait pour ça.
L'homme ne bande pas encore, je prends le gland entre deux doigts et attire la queue, elle est belle, longue, épaisse et très blanche, j'aspire le gland, il est tiède et sent un peu l'urine, je ne déteste pas. Je commence à le sucer et je sens que l'érection débute, la bite grossit progressivement entre mes doigts et elle devient de plus en plus dure. Compte tenu de sa vigueur je pense que j'ai à faire à un homme plutôt jeune !
Je commence maintenant ma fellation, j'entends alors le type qui gémit de plaisir derrière la cloison. Bien que le trou ne soit pas très grand, il arrive à glisser ses couilles de mon côté et j'ai tout le sexe à ma disposition, un sexe seul sans son possesseur rien que pour moi ! La minuterie a éteint le hublot et c'est dans un noir parfait que je continue. Je lui bouffe les couilles tout en le branlant, la queue vibre entre mes doigts et je caresse le gland maintenant très chaud et ruisselant de ma salive.
Le type est endurant, la grosse queue dure comme du bois va et vient dans ma bouche et tout en la suçant je me branle, je suis également très excité et je jouis assez vite sur le carrelage. Le type pousse des gémissements de plus en plus rauques ponctués de "oui"... "oui encore"... "putain c'est bon"... et avant de céder la voix me prévient de l'imminence de l'éjaculation au cas où je ne désire pas la recevoir dans la bouche, le type est correct car tous ne préviennent pas ! Je sens que la queue vibre de plus en plus fort et le foutre chaud se répand sur ma langue. J'adore ce moment final de la pipe, sentir cette sensation de chaleur qui me remplit la bouche, le goût âpre et plus ou moins fort du sperme. Je déglutis et lâche la queue après avoir aspiré la dernière goutte.
L'homme récupère son sexe, je suis encore à genoux quand j'entends la porte et le type s'en va aussi inconnu pour moi que quand il est entré. Je décide d'attendre encore un peu, c'est samedi soir et en général les nuits de weekend sont plus propices que celles en semaine. À peine une minute s'écoule et une nouvelle bite sort du trou, elle est bien plus petite que la précédente et le poil est gris, presque blanc, en fait c'est une grosse boule et je dois tirer dessus pour obtenir une vraie queue ! Je la branle avant de la sucer et la bandaison commence, ça me change car l'érection est nettement moins vigoureuse que celle de mon premier homme mais ça ne me dérange pas, l'essentiel pour moi étant de sucer une bite !
C'est dans le silence que je suce car l'homme ne prononce pas un mot, pas même un gémissement, on n'entend alors que le bruit de mes lèvres qui vont et viennent sur la queue. Je reçois alors la décharge sans que je n'ai ressenti la moindre sensation d'excitation différente de la queue, le sperme est très liquide et sans trop de goût.
Trois autres queues se succèdent ensuite, bonne soirée finalement je ne suis pas à plaindre ! Je sors alors, sur le parking il n'y a plus personne, il est un peu plus de minuit et je décide de changer d'endroit, vers deux ou trois heures du matin certains coins de la forêt de Fontainebleau sont particulièrement bien fréquentés le weekend!
Derniers Commentaires